Arrivée à Ankara
Aie Aie, pas d'internet et une première semaine de boulot et de démarches administratives très chargée m'ont tenue éloignée de ce blog depuis mon arrivée.
Il y a 10 jours, je commençais à douter de partir un jour, à douter de l'existence de l'école qui m'employait. A douter même de l'existence de la Turquie. Tant mon visa semblait ne jamais devoir arriver.
Il est arrivé, finalement, presque sans prévenir. Au consulat j'ai réussi à faire sourire l'impassible responsable des visas grâce au sourire radieux que j'ai affiché quand elle m'a dit :"Bon voyage en Turquie et bon séjour".
2 jours plus tard, je décollais, apercevais les sommets enneigés des Alpes, et puis m'endormais jusqu'à l'arrivée à Istanbul. Vaseuse, devant un espresso hors de prix et un baklava pas terrible
j'attendais mon avion pour Ankara où je serais accueillie puis hébergée par de futurs collègues.
Le lendemain de mon arrivée: je vais à mon école, rencontre de trop nombreuses personnes pour m'en souvenir, visite moults apparts, me laisse convaincre de prendre une collocation pour quelques temps.
Dans ma première semaine, ce que je vois de mon nouveau pays d'adoption se résume à : appart/école.
Un tour dans le quartier. (MIAM)
Un test de la cuisine turque un soir, en centre ville, en terrasse. (REMIAM)
Par chance, la fin du ramadan nous offre une semaine de vacances, déjà! Je vais donc avoir le temps de prendre mes marques, visiter la ville, trouver un hamman (petit clin d'oeil...), récupérer de cette première semaine intense, dévaliser les patisseries du coin, commencer à chercher un autre appart avec vue sur la ville, Inchallah.
Bref. Je me lance. Donnez moi un peu de temps.
Et puis, puisque vous insistez: quelques premières photos de la grande (très grande!) mosquée d'Ankara,
à l'intérieur somptueux, évidemment,
un soir, à l'heure où on rompt le jeûne du ramadan. Les hommes d'un côté, les femmes de l'autre.
A bientôt